Je m’appelle Jessica BONY et jusqu’à ce que je fasse ma formation j’étais souvent considérée comme hypersensible. Non pas que j’avais des sens très développés mais parce que je pouvais me mettre à pleurer sans raison apparente. Mes émotions étaient exacerbées sans même que je puisse les identifier. Le bon mot aurait donc été hyperémotive plutôt que hypersensible. J’en ai assez vite pris le partie de considérer que c’était ainsi que ça faisait partie de moi et puis comme on est tous unique et bien c’était ma petite touche personnelle. Le voir ainsi me permettait de le vivre plus sereinement et d’ailleurs ce sont finalement mes interlocuteurs qui en étaient le plus souvent gênés.
Pleurer a longtemps été synonyme de tristesse dans notre société. Or moi, je pouvais tenir une conversation et rire tout en pleurant. Vers mes 13-14 ans mes parents ont fait le choix de me faire consulter un psychiatre pour cela, il a posé le diagnostic de phobique sociale et me donnait des exercices à faire (respiration, mise en situation comme aller acheter le pain…). Disons-le cela n’a pas été concluant parce que je ne comprenais tout simplement pas l’intérêt de ces exercices. Et puis, je n’étais sans doute pas prête, sans doute. Les mises en situations ne me gênaient absolument pas, j’étais quelqu’un de plutôt sociable voir même populaire car à l’époque j’étais en lycée professionnelle et je me suis assez vite engagée dans l’association du lycée. En revanche, j’ai pu constater, que les situations où je devais parler de moi, de ce qui me touche profondément ou lorsque je me faisais la porte-parole, là, ça me mettais en difficulté.

A l’aube de la trentaine, avec le doux rêve d’être un jour propriétaire, j’ai alors fais le choix de changer de cap : priorité à un CDI, de préférence toujours en milieu associatif et surtout sur un poste demandant polyvalence et adaptabilité pour qualité première.

C’est ainsi qu’en 2017, je commença chez France Active Bretagne une association œuvrant dans la finance solidaire et la création d’entreprise. Nous étions une dizaine et au bout de 5ans à force de nouveaux marchés publics nous étions passés à presque 50salariés. J’avais fait ma place, avais élargi mon champ d’action naturellement notamment avec ce qui relevait de la formation des nouveaux arrivants et de la révision des procédures. Le poste d’assistante administrative était métamorphosé.

Mais au bout des 5 ans, le tour était fait et comme beaucoup, au détour de la crise COVID… l’appel d’un renouveau s’est fait sentir. L’opportunité d’un bilan de compétence m’a permis d’y voir clair pour choisir entre les métiers de consultante en organisation, de formatrice ou de kinésiologue et l’aventure était lancée quelques mois plus tard, en janvier 2022.

A l’aube de la trentaine, avec le doux rêve d’être un jour propriétaire, j’ai alors fais le choix de changer de cap : priorité à un CDI, de préférence toujours en milieu associatif et surtout sur un poste demandant polyvalence et adaptabilité pour qualité première.

C’est ainsi qu’en 2017, je commença chez France Active Bretagne une association œuvrant dans la finance solidaire et la création d’entreprise. Nous étions une dizaine et au bout de 5ans à force de nouveaux marchés publics nous étions passés à presque 50salariés. J’avais fait ma place, avais élargi mon champ d’action naturellement notamment avec ce qui relevait de la formation des nouveaux arrivants et de la révision des procédures. Le poste d’assistante administrative était métamorphosé.

Mais au bout des 5 ans, le tour était fait et comme beaucoup, au détour de la crise COVID… l’appel d’un renouveau s’est fait sentir. L’opportunité d’un bilan de compétence m’a permis d’y voir clair pour choisir entre les métiers de consultante en organisation, de formatrice ou de kinésiologue et l’aventure était lancée quelques mois plus tard, en janvier 2022.

Les années ont passées, du monde des chevaux j’ai continuité dans celui du tourisme. Durant 10 ans, j’ai évolué essentiellement dans des petits office de tourisme en milieu rural. Puis la loi NOTRe et ses remaniements territoriaux qui annonçaient un changement dans une profession où je ne m’épanouirai plus. Fin de la polyvalence et des relations de proximité et toujours des CDD.

A l’aube de la trentaine, avec le doux rêve d’être un jour propriétaire, j’ai alors fais le choix de changer de cap : priorité à un CDI, de préférence toujours en milieu associatif et surtout sur un poste demandant polyvalence et adaptabilité pour qualité première.

C’est ainsi qu’en 2017, je commença chez France Active Bretagne une association œuvrant dans la finance solidaire et la création d’entreprise. Nous étions une dizaine et au bout de 5ans à force de nouveaux marchés publics nous étions passés à presque 50salariés. J’avais fait ma place, avais élargi mon champ d’action naturellement notamment avec ce qui relevait de la formation des nouveaux arrivants et de la révision des procédures. Le poste d’assistante administrative était métamorphosé.

Mais au bout des 5 ans, le tour était fait et comme beaucoup, au détour de la crise COVID… l’appel d’un renouveau s’est fait sentir. L’opportunité d’un bilan de compétence m’a permis d’y voir clair pour choisir entre les métiers de consultante en organisation, de formatrice ou de kinésiologue et l’aventure était lancée quelques mois plus tard, en janvier 2022.

Aujourd’hui, je vous le dit le hasard n’existe pas ; car la kinésiologie, rien ne pouvait m’y prédestiner. Famille ouvrière, ouverte d’esprit mais pas forcément portée sur les « médecines » dites douces ou alternatives et suivant plutôt le schéma classique du « je vais bien, tout va bien » à tendance « dur au mal ». Non, la kinésiologie, c’est au détour de commentaires sur les réseaux sociaux que je l’ai découverte et je m’y suis lancée en n’ayant fait que 3 séances (dont 2 en visio ce qui n’est, de fait, pas réellement de la kinésiologie).

C’est pour éviter ce type d’incompréhension que j’ai signé la charte de déontologie et que j’adhère au Syndicat National des Kinésiologues.

Certifiée depuis juin 2023, les protocoles que j’applique sont des protocoles que j’ai moi-même reçu.

Dans une logique d’amélioration continue, j’approfondis et développe ma pratique pour vous :
• Hypnose régressive et spirituelle
• Psychogénéalogie

« L’apprentissage est un trésor qui suivra partout son propriétaire »

C’est pour éviter ce type d’incompréhension que j’ai signé la charte de déontologie et que j’adhère au Syndicat National des Kinésiologues.

Certifiée depuis juin 2023, les protocoles que j’applique sont des protocoles que j’ai moi-même reçu.

Dans une logique d’amélioration continue, j’approfondis et développe ma pratique pour vous :
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« L’apprentissage est un trésor qui suivra partout son propriétaire »

C’est pour éviter ce type d’incompréhension que j’ai signé la charte de déontologie et que j’adhère au Syndicat National des Kinésiologues.

Certifiée depuis juin 2023, les protocoles que j’applique sont des protocoles que j’ai moi-même reçu.

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Coordonnées

07.52.05.22.46

jessica.bony@monfilrougekinesio.com

Adhérente au SNK

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